Athéna La centaure de Frigilia

Voici mon roman.

Je vous présente d'abord le prélude. Ma mère pense que je devrais changer le nom des personnages. Pour la longeur c'est bien pour un prélude mais il faut que je grossisse mes chapitres .



"Je suis née dans la foret du pays des «vientan». Mon père Osiris est mort loyalement face à une panthère des neiges alors que ma mère a été tué 2 mois après ma naissance par des hommes. Avant la mort de ma mère, elle m'avait laissée aux soins d'un vieux centaure nommé Apollon, le frère de ma mère. Je ne l'aimais pas, il était trop renfermé et à la fois trop protecteur ce qui m'empêchait de bouger. Apollon était borgne; il avait les cheveux roux, courts, bouclés qui formaient une grosse touffe sur sa tète. Sa bouche était cachée par un grosse barbe, il portait un anneau à un doigt, sa queue était mal coiffée matin et soir. Lors d'une promenade dans les montagnes, il me dit :
« Je suis trop vieux et trop fatigué pour monté plus haut mais vas-y, toi ! "
- Bien, mon oncle.
Incroyable, jamais un seul instant je ne m'étais retrouvée seule ! J'aimais la solitude, elle était comme une amie qui ne trahissait jamais les secrets et l'on pouvait rester seule dans ses rêves les plus profond.
Alors que je me dirigeais vers le col, tapis dans l'ombre d'une colline de rochers, je vis un grand temple. Je sentis la curiosité m'envahir et je m'avançai vers l'entrée. Les corbeaux crièrent à mon approche et s'envolèrent. La façade était couverte de mousse et de lierres mais l'on pouvait apercevoir des gargouilles de singes, de tigres et d'éléphants. Au dessus de la porte, une grande gargouille de crocodile semblait garder l'entrée. Je pris mon courage à deux mains et m'engouffrai vers l'intérieur du temple. L'intérieur était sombre mais de ci, de là des pierres étaient effondrées et laissaient passer des brins de lumière venant de l'extérieur. En continuant ma promenade, je découvris au cœur du bâtiment, une cour envahie par les plantes avec,malgré cela, une fontaine encore vive. Je bu un petit peu et continuait ma visite. Au détour d'un couloir j'entendis un petit miaulement. En m'approchant timidement,je découvris un immense tigre allongé dans une mare de sang, l'oreille était coupée, et un gros trou se trouvait au centre du cou. Les miaulements reprirent ce qui me tira de mon choc. Les pleurs venaient de plus bas, je soulevait le grand tigre avec effroi et découvrit un bébé tigre roulé en boule dans un trou. En me voyant, il s'engouffra un peu plus dans ce trou.
« Tu n'as pas à t'inquiéter de moi, je ne te veux aucun mal. Viens avec moi, ne reste pas là autrement tu risque de te faire attraper lorsque les tueurs vont revenir»
Le bébé tigre mit un moment à ce décider mais finalement avança lentement vers moi. Je lui tendis mes bras et il s'y blotti. En faisant demi-tour, je le déposai sur mon dos. Lorsque nous sommes partis le bébé regardait toujours son père.
Arrivés au grand air, le soleil m'éblouit, le tigre sauta de mon dos.
Tous les deux descendîmes de la montagne. Mon oncle devait m'attendre. Arrivé en bas, il n'était pas là.
Je suis restée trop longtemps, il doit être rentré. Ou peut-être l'a t-on enlevé ? Bon sang m'a t'il laissé seule ?
Bon, on y va ! Destination maison !»
Je le disais comme si c'était normal mais, allait-il me suivre? Je fis quelques pas et regardai derrière moi. Il me suivait !
Enfin à la maison, j'ouvris la porte. Mon oncle n'était pas là mais la maison n'avais pas bougé. Je montai pour rejoindre mon lit et j'y découvris un petit bout de papier froissé."

Pas de copie. S'il vous plait.

N'ésitez pas à donner votre avis

J'aime bien, l'histoire promet d'être originale ! Je me permet de te faire quelques remarques, à toi d'arranger ça à ta façon Ce sont de petites choses qui m'ont "sauté aux yeux", et qui pourraient alléger ton texte.

"Je
suis née dans la foret du pays des «vientan». Mon père Osiris est mort
loyalement face à une panthère des neiges alors que ma mère a été tuée 2
mois après ma naissance par des hommes. Avant la mort de ma mère (Avant sa mort,), elle
m'avait laissée aux soins d'un vieux centaure nommé Apollon, le frère
de ma mère (son frère). Je ne l'aimais pas, il était trop renfermé et à la fois
trop protecteur ce qui m'empêchait de bouger. Apollon était borgne; il
avait les cheveux roux, courts, bouclés qui formaient une grosse touffe
sur sa tète. Sa bouche était cachée par un grosse barbe, il portait un
anneau à un doigt, sa queue était mal coiffée matin et soir. (Je trouve que dans cette phrase, tu décris beaucoup d'éléments qui ne sont pas liés, il faudrait peut-être revoir ta formulation Puis, dans la phrase suivante, tu change totalement de sujet, il faudrait essayer de faire une "transition". Je ne sais pas comment expliquer, mais passer de la description à l'action comme ça, ça fait bizarre.)Lors d'une promenade dans les montagnes, il me dit :
« Je suis trop vieux et trop fatigué pour monté(er) plus haut mais vas-y, toi ! "
- Bien, mon oncle.
Incroyable,
jamais un seul instant je ne m'étais retrouvée seule ! J'aimais la
solitude, elle était comme une amie qui ne trahissait jamais les
secrets et l'on pouvait rester seule dans ses rêves les plus profond. (Ca ne colle pas vraiment : tu dis qu'elle ne s'est jamais retrouvée seule, puis elle décrit sa "vision" de la solitude, comme si elle la connaissait bien)
Alors
que je me dirigeais vers le col, tapis(e) dans l'ombre d'une colline de
rochers, je vis un grand temple. Je sentis la curiosité m'envahir et je (le 2e je vraiment utile ?)
m'avançai vers l'entrée. Les corbeaux crièrent à mon approche et
s'envolèrent. La façade était couverte de mousse et de lierres mais
l'on pouvait apercevoir des gargouilles de singes, de tigres et
d'éléphants. Au dessus de la porte, une grande gargouille (répétition avec la ligne précédente, une grande statue ?) de crocodile
semblait garder l'entrée. Je pris mon courage à deux mains et
m'engouffrai vers l'intérieur du temple. L'intérieur (Répétition, Celui-ci/Il/C'était ?) était sombre mais
de ci, de là des pierres (s')étaient effondrées et laissaient passer des
brins de lumière venant de l'extérieur. En continuant ma promenade, je
découvris au cœur du bâtiment, une cour envahie par les plantes
avec, (espace) malgré cela, une fontaine encore vive. Je bu un petit peu et
continuais ma visite. Au détour d'un couloir, j'entendis un petit
miaulement. En m'approchant timidement, (espace) je découvris un immense tigre
allongé dans une mare de sang,(un point ici ?) (son oreille)l'oreille était coupée, et un gros trou
se trouvait au centre du (de son) cou. Les miaulements reprirent ce qui me tira
de mon choc (Je propose : Les miaulements reprirent et me tirèrent de mon choc). Les pleurs venaient de plus bas, je soulevais le grand
tigre avec effroi et découvris un bébé tigre roulé en boule dans un
trou. En me voyant, il s'engouffra un peu plus dans ce trou. (J'ai pas compris ce passage personnellement, sous le tigre il y a un trou dans lequel se trouve un bébé tigre, c'est ça ? Le tigre tomberait un peu, dans ce cas... Sinon le fait que la fille soulève le tigre comme ça, comme si c'était naturel, me parait un peu étrange mais vu que c'est de la science-fiction c'est peut-être une fille à la force surhumaine )
«
Tu n'as pas à t'inquiéter de moi (Le "de moi" ça ne colle pas trop, supprime-le ou remplace t'inquiéter par avoir peur, ça sonne bien mieux ), je ne te veux aucun mal. Viens avec
moi, ne reste pas là autrement tu risque de te faire attraper lorsque
les tueurs vont revenir(reviendront) (espace)».
Le
bébé tigre mit un moment à ce décider mais finalement avança lentement
vers moi. Je lui tendis mes bras et il s'y blotti. En faisant
demi-tour, je le déposai sur mon dos. (Là encore ça n'est pas très crédible, mais c'est peut-être car ce monnde est particulier) Lorsque nous sommes partis, le
bébé regardait toujours son père.
Arrivés au grand air, le soleil m'éblouit, le tigre sauta de mon dos.
Tous les deux (Tous deux, ce sont le tigre & l'héroïne ? Pourquoi parles-tu à la 3e personne tout d'un coup ?) descendîmes de la montagne. Mon oncle devait m'attendre. Arrivés en bas, il n'était pas là (je ne le vis pas, ça va mieux avec le début de la phrase, si tu mets ça, arrivée se mettraavec un e).
Je suis restée trop longtemps, il doit être rentré. Ou peut-être l'a t-on enlevé ? Bon sang m'a-t'-l laissé seule ?
Bon, on y va ! Destination maison ! (espace)» (Etrange formulation alors qu'elle se demande s'il n'a pas été enlevé, je pense qu'il faudrait que tu retravailles cette phrase)
Je le disais comme si c'était normal mais, allait-il me suivre (espace)? Je fis quelques pas et regardai derrière moi. Il me suivait !
Enfin
à la maison, j'ouvris la porte. Mon oncle n'était pas là mais la maison
n'avais pas bougé.(Formulation bizarre, une nouvelle fois, mais la maison était intacte, ça va mieux, attention à la répétition du mot maison) Je montai pour rejoindre mon lit et j'y découvris un
petit bout de papier froissé."

Voilà, ça ne sont évidemment que des conseils, pour t'aider. Mais tu en fais ce que tu veux

Merci beaucoup pour tes remarques !

Mais je ne vois pas comment faire une "transaction" entre la description et l'action...

Citation :

Là encore ça n'est pas très crédible, mais c'est peut-être car ce monnde est particulier

Athéna est un centaure...